Réflexion sur le racisme systémique
Réflexion inspirée d’un commentaire paru à la suite d’un article du Devoir du 31 octobre sous le titre « Je refuse »
Dans la foulée des interventions faisant référence au « racisme systémique » des Québécois, j’aimerais attirer votre attention sur des questions qui me triturent les méninges depuis un certain temps. En voici le cœur du sujet.
Comment se fait-il que les supposés bien-pensants osent nous accuser de racisme et de xénophobie alors que les personnes qu’elles protègent pratiquent la haine des mécréants et le mépris sans vergogne de nos valeurs sur notre propre territoire ?
Comment se fait-il que les Québécois soient traités de racistes alors que ce sont les émigrants qui bafouent nos coutumes, notre liberté d’expression et notre défense de l’égalité hommes-femmes, qui refusent de s’intégrer à leur société d’accueil et qui tournent le dos à notre civilisation ?
C’est George Orwell qui disait : « Dans une période de tromperie universelle, dire la vérité devient un acte révolutionnaire ». Eh bien, force est de constater qu’au Québec, nous en sommes rendus là, à clamer haut et fort nos convictions profondes envers nos valeurs et à exiger que les étrangers qu’on accueille respectent ces valeurs…Pour ce qui est du « racisme systémique », on repassera !
vigile.net tribune libre 2 novembre 2017