ON est le seul parti qui prône en priorité la souveraineté du Québec
D’entrée de jeu, une mise au point s’impose : malgré le départ de Jean-Martin Aussant, Option nationale est là pour rester ! Quant à ceux et celles qui voient dans la démission du chef d’ON l’occasion de garnir le membership du PQ, ils trouveront une fin de non-recevoir pour ce parti usé par des années de pouvoir, particulièrement les années post référendaires de 1995 qui ont vu l’option souverainiste reléguée dans le placard des vieilles rengaines reliées à la gouvernance souverainiste de Pauline Marois.
Quant à vous toutes et tous qui êtes désabusés des sempiternelles tergiversations et des reculs répétitifs du PQ concernant ses promesses électorales, la porte d’Option nationale vous est grande ouverte. À cet effet, je vous propose cet extrait de Jean-Martin Aussant prononcé lors de son allocution annonçant son départ de la vie politique le 19 juin :
« Laissez-moi vous rappeler quelques faits : en quelques mois, en pleine période de cynisme politique ambiant, un tout nouveau parti réussit à recruter 8 000 membres ; il réussit à présenter 120 candidats, dans toutes les régions du Québec ; il réussit à recueillir plus de 80 000 votes à sa première élection malgré ses moyens limités et plusieurs appels au vote stratégique ; et il réussit à doubler son niveau d’appui dans les sondages depuis cette première élection. À mes yeux, un tel parti peut et doit continuer à faire progresser la cause qui l’a vu naître.
Depuis sa fondation, Option nationale a intéressé pour la première fois des milliers de gens à la politique et à la souveraineté, en bonne partie des jeunes. Une telle réussite vaut de l’or pour une société. L’espoir qu’incarne Option nationale pour tous ces gens doit se poursuivre. Le Québec en a besoin. »
Et que dire de l’appel vibrant de Catherine Dorion à la mobilisation pour l’accession du Québec à son statut de pays dans un article paru sur la tribune libre de Vigile le l8 septembre 2010 sous le titre « Avancer malgré le trac » :
« Il s’agit d’un combat entre l’ambition et la peur. Quand un ami nous dit : « je sens que c’est ça que je devrais faire, j’ai envie de ça, mais j’ai peur de ne pas y arriver, de trouver ça trop dur », il est de notre devoir de l’encourager, au courage et à la vraie vie, et non à la peur, à l’aplatissement et à la platitude. Quand les Québécois disent : « j’aimerais ça mais je le sais pus », il est de notre devoir de répondre ! D’être là ! De militer pour le bonheur, pour l’avenir, pour le courage ! C’est ça le rôle d’un politicien, d’un militant ! Pas d’attendre que le monde pense comme lui, de même, par un heureux hasard, pour après ramasser les fruits de ça et se faire élire sans jamais avoir rien fait pour convaincre le monde de ses idées ! »
Option nationale est un paquebot en construction, il a besoin de bras de fer pour l’aider à se mettre à flot et voguer vers sa destination…À vous qui avez été désillusionnés par le PQ et qui avez gardé la flamme nationaliste, Option nationale vous invite à participer activement à l’odyssée qui le conduira à bon port…Ensemble, ON y arrivera !
vigile.net tribune libre 21 juin 2013