Condamné à mort à petit feu

La cruelle agonie à laquelle a été soumis Clayton D. Locket au moment de subir sa sentence de condamnation à mort dans cette prison de l’Oklahoma suscite sans contredit une sérieuse remise en question des substances utilisées par les autorités responsables pour procéder à l’exécution de ces condamnés.

En effet, peu importe les raisons criminelles qui ont conduit au verdict prononcé contre Locket, aucune justification acceptable ne peut tenir la route concernant la mise à mort aussi cruelle d’un être humain. Particulièrement lorsqu’il était connu que les composés de l’injection létale administrée au condamné étaient contestés.

De ce fait, tant et aussi longtemps que certains états américains maintiendront la peine de mort comme sentence et que les responsables de son application continueront à détenir l’autorité suprême incontestable et incontestée en cette matière, nous serons confrontés à ces attitudes dignes de la plus ignoble barbarie…En attendant, God bless America!
 

quebechebdo 2 mai 2014

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